Faut-il sauver le soldat DSM ?
Une des particularités françaises des secours et soins d’urgences collectives, est de confier à un médecin, la direction d’une chaîne de secours incluant l’ensemble des partenaires publics et associatifs concourants. Depuis les années 1980, cette exception parisienne a été étendue à l’ensemble des départements1 et a fait l’envie de nos partenaires étrangers.
Où en est-on après près de quarante ans d’exercice de ce poste de responsabilité opérationnelle ?
La multiplication des ACEL pour tueries de masse remet-elle en question ce concept opérationnel ?