L’inventaire des événements survenus au cours des deux derniers mois a été marqué par la survenue d’incendies forestiers et d’inondations dans de nombreuses régions du monde, pratiquement aucun continent n’a été épargné.
Leur dénominateur commun pourrait en être la phase de réchauffement climatique que de nombreux experts internationaux s’accordent à reconnaître comme réels.
Les vagues de canicule, l’absence de pluviosité, la survenue de vents violents, représentent les éléments constants favorisant l’apparition et l’extension des incendies.
Cependant un certains d’observations plus approfondies constatent aussi la part de la responsabilité immédiate de l’homme : mises à feu volontaires et multiples en période de vulnérabilité, implantation des habitations « hasardeuses » à proximité de zones boisées, absence ou insuffisance des mesures de protection par les opérations de débroussaillage autour des zones habitées, insuffisance des mesures de surveillance quand les conditions « optimales de feu « sont établies.